Cher T,
Je te remercie de bien vouloir dialoguer vec moi.
Je ne connais pas Pierre Rabhi ni Paul Jorion, et ai eu connaissance de Maurice Allais.
Les circuits courts ou les commerces de troc sont des modes de fonctionnement anciens, avant que n'existe la monnaie comme moyen d'échange.
Mais effectivement, si le dollar, qui est la monnaie de référence, se casse la figure, ce qui n'est pas impossible, il faudra bien envisager d'autres solutions, même provisoires. Comme avec le mark allemand des années 20 et 30.
Sans avoir besoin d'invoquer le déclinisme comme solution à une gestion de ressources limitées, par une humanité en expansion et toujours plus vorace, il est nécessaire de réfléchir à une gestion de crise transitoire.
Déjà, on ne sait pas quand le virus va s'arrêter et à quel niveau, ce qui un élément important d'incertitude.
Les gouvernants de ce monde sont dépassés, et la jouent perso (Trump) ou de manière dictatoriale (Xi Ji Ping). Et Macron rêve quand il pense éteindre le feu à Beyrouth avec quelques 30 millions d'€ alors que la moitié de la population vit sous le seuil de pauvreté !.
L'heure est à la révolte des peuples, qui va tout balayer. Avec le chaos et des dictatures à l'horizon.
Nous payons 30 ans d'incurie, alors que le mur de Berlin est tombé et que n'existe plus la menace soviétique. Si, comme on nous le serinent, tout n'allait pas si mal, pourquoi ce monde menace-t'il de s'écrouler ?
C'est vrai que certains vont très bien.
Vais-je devenir fataliste ?
Je t'entretiendrai de la suite plus tard.
Amicalement.
Raoul
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