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Citations d'Adolf Hitler sur le Lebensraum




Adolf Hitler a souvent évoqué le concept de Lebensraum (espace vital) dans ses discours et écrits, notamment dans Mein Kampf. Voici quelques citations représentatives de ses idées sur ce sujet :


« Le sol appartient à celui qui le conquiert. »

Cette citation souligne l'idée que la conquête territoriale est justifiée par le droit de possession.


« Nous devons nous assurer un espace vital pour notre peuple. »

Ici, Hitler exprime la nécessité d'acquérir des territoires pour garantir la survie et le développement de la population allemande.


« L'Allemagne doit se tourner vers l'Est pour trouver les terres et les ressources nécessaires à son plein développement. »

Cette citation montre la direction géographique que Hitler envisageait pour l'expansion allemande.


« La conquête de l'Est est essentielle pour la grandeur de l'Allemagne. »

Cela reflète son objectif d'étendre le territoire allemand en direction de l'Est, en justifiant cette expansion par des raisons de survie nationale.


Ces citations illustrent la manière dont Hitler a utilisé le concept de Lebensraum pour justifier ses politiques expansionnistes et ses ambitions territoriales, qui ont eu des conséquences dévastatrices pendant la Seconde Guerre mondiale.




Les dogmes sont pour les religions ce que les lois constitutionnelles sont pour l'État.


La masse est instinctivement hostile à tout génie éminent. On a plus de chance de voir un chameau passer par le trou d'une aiguille que de découvrir un grand homme au moyen d'un élection.


La nature ne connait pas de frontières politiques. Elle place les êtres vivants les uns à côté des autres sur le globe terrestre, et contemple le libre jeu des forces. Le plus fort en courage et en activité, enfant de prédilection de la nature, obtiendra le noble droit de vivre.


Dès mes années de lutte de Vienne, je m’étais persuadé que : Le but de l’activité sociale ne devra jamais être d’entretenir une endormante prospérité, mais bien plutôt d’éviter ces carences essentielles de notre vie économique et culturelle, qui conduisent nécessairement à la dégénérescence de l’individu ou tout au moins peuvent l’entraîner.


Le rôle du plus fort est de dominer, non point de se fondre avec le plus faible, en sacrifiant ainsi sa propre grandeur. Seul, le faible de naissance peut trouver cette loi cruelle.


La France même doit être comptée au nombre de ces États [géants]. Non seulement du fait qu’elle complète son armée, dans une proportion toujours croissante, grâce aux ressources des populations de couleur de son gigantesque empire, mais aussi du fait que son envahissement par les nègres fait des progrès si rapides que l’on peut vraiment parler de la naissance d’un État africain sur le sol de l’Europe.


La religion de Moïse n'est rien d'autre que la doctrine de la conservation de la race juive.


Mais c’est seulement, pour la première fois, au cours de la guerre, que je pus me rendre compte à quels prodigieux résultats peut conduire une propagande judicieusement menée. Ici encore, toutefois, il fallait malheureusement tout étudier chez la partie adverse, car l’activité de notre côté restait sous ce rapport plus que modeste. Mais précisément l’absence complète d’une propagande d’envergure du côté allemand devait crûment sauter aux yeux de chaque soldat. Tel fut le motif pour lequel je m’occupai encore plus à fond de cette question.


« Mein Kampf », qui constitue assurément un document indispensable pour la connaissance de l’histoire contemporaine, est aussi une œuvre de polémique et de propagande dont l’esprit de violence n’est pas étranger à l’époque actuelle et qui par là-même peut encore, malgré l’inanité de ses théories, contribuer à une renaissance de la haine raciale ou à l’exaspération de la xénophobie.


Pour ne pas désespérer complètement des hommes qui m’entouraient alors, il me fallait faire abstraction de leurs façons et de leur vie, et ne retenir que les raisons de leur déchéance. Alors je pouvais supporter ce spectacle sans découragement, alors ce n’étaient plus les hommes qui ressortaient de tous ces tableaux du malheur et du désespoir, de l’ordure et de la dépravation, mais les tristes résultats de tristes lois. Cependant, ayant moi-même bien du mal à vivre, j’étais gardé de capituler en quelque pitoyable sentimentalité à la vue des produits, résultat final de ce processus de dégradation. Non, ce n’est pas ainsi qu’il fallait le concevoir. Et il m’apparaissait que, seul, un double chemin pouvait conduire à l’amélioration de cet état :


Établir des bases meilleures de notre développement en s’inspirant d’un profond sentiment de responsabilité sociale.


Anéantir avec une décision brutale les rejetons non améliorables.

 
 
 

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